Et nous voilà déjà au deuxième épisode de ce podcast ! J’y adapte et met à jour un article que j’avais rédigé en 2020. J’aborde toutes ces petites choses que j’aurais aimé savoir avant de me lancer dans l’aventure et de créer ma maison d’édition. Les conseils, les choses à éviter, les points de vigilance … Au final j’ai tout découvert dans l’action et je vous livre mon expérience.
Je me souviens encore quand j’ai débarqué sur la blogo littéraire il y a 6 ou 7 ans. Je cherchais à réaliser une photo de couverture originale pour ma vidéo sur La Belle et la Bête et je suis tombée sur le tuto de La Parenthèse Imaginaire. De là j’ai découvert le blog et, fascinée par ses articles de qualité et ses photos sublimes, je ne l’ai plus jamais lâché.
Le voici, le voilà ! Le premier épisode du podcast Writers Factory est enfin en ligne et c’est non sans peur mêlée d’excitation que je vous le partage.
Nous y voilà ! Cela fait quelques semaines que je vous tease, avec plus ou moins de subtilité, ce nouveau projet qui m’anime : mon propre podcast Writers Factory, tadaaaam !
Le marketing. Ça m’arrive rarement d’y succomber, surtout en matière de lecture (j’ai tellement de livres en attente dans ma PAL ou ma wishlist qu’en général même une bonne campagne de pub ne me fait pas craquer) et pourtant Collection R m’a eu avec La Cour des ténèbres de Victor Dixen.
Il y a 7 mois, je prenais ma plume pour vous raconter comment je n’ai pas vraiment annoncé que j’étais enceinte à mon mari. A ce moment-là je voulais écrire à propos de chaque trimestre de cette grossesse, fixer les souvenirs sur la toile pour ne jamais les perdre. Et puis, je ne sais quoi, un souci d’intimité, un soupçon de « mais ça n’intéresse que moi en fait », un peu de superstition aussi, m’ont fait abandonner cette idée. J’ai vécu ces quelques mois dans une bulle, confinée chez moi et coupée un peu des réseaux sociaux. Mais, un mois après la plus belle rencontre de ma vie, alors que j’ai retrouvé mon poids avant grossesse, que la linea nigra que j’affectionnais tant commence à s’estomper de ma peau, alors que les premiers vêtements de mon fils lui vont petit et que les instants palpitants de cette grossesse et de sa conclusion se lissent pour se ranger dans mes souvenirs, j’ai envie d’écrire à nouveau. Vous parler de mon accouchement. Pour partager, pour ne rien oublier, pour conclure un cycle entamé avec l’article qui relate ma fausse couche. Alors pour ceux que ça intéresse … c’est parti !
La saga de Sarah J Maas autour de Keleana ne m’a jamais attirée, en dépit du bien que l’on m’en disait. Le résumé, la couverture et le titre m’ont toujours parus bateau, clichés. Assez pour ne pas me donner envie de m’y plonger. Et puis je suis tombée dans la seconde série de l’auteure, ACOTAR.
Il m’a longtemps effrayée avant de commencer à me fasciner. Avec sa grosse barbe, ses airs d’ogre et l’arbitraire de ses meurtres. On ne saura jamais vraiment pourquoi il a tué ses femmes si ce n’est pour punir leur curiosité. Et cette sentence terrible, « il vous faut mourir Madame maintenant », continue de me terrifier par le calme et l’implacabilité qu’elle dégage.
Je l’ai commencé pendant le confinement. En avril certainement. Et nous sommes en août au moment où je rédige cet article. Il m’aura fallu près de quatre mois pour venir à bout du Roi Magicien de Lev Grossman. Interminable vous avez dit ?
Je vous avais laissés, chers lecteurs, sur la non-annonce au papa et ma prise de rendez-vous chez le gynécologue. Je vous propose aujourd’hui de vous replonger avec moi dans les souvenirs chaotiques de ce premier trimestre, alors que mon second trimestre est bien (bien) entamé à l’heure où j’écris et que baby danse la salsa dans mon ventre.